Dirk témoigne de son job dans l'IT
« Depuis mes débuts à la Justice en 2007, j’ai déjà effectué un parcours des plus variés. J’ai commencé comme responsable IT sur une application autour des dossiers de détention. Pendant plusieurs années, j’ai aussi géré les applications des tribunaux de l’application des peines, des maisons de justice et du service Législation. Depuis une dizaine d’années sont encore venues s’ajouter une série d’applications pour l’ordre judiciaire. Toujours avec un focus sur l’IT.
Aujourd’hui, je suis directeur Développement des applications et je suis responsable des applications développées et gérées en interne. Qui dit applications, pense souvent automatiquement aux applis de médias sociaux, mais nos applications sont principalement utilisées à des fins de gestion de dossier. Ainsi, chaque tribunal travaille, par exemple, avec une certaine application qui contient le dossier judiciaire tout entier. C’est bien plus facile et cela leur permet de travailler de façon plus efficace. »
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Aucun jour n’est pareil
« En tant que responsable, je vis des journées très variées. J’assure le suivi des différentes équipes et j’agis en pompier quand la situation l’exige. Lorsqu’une application ne fonctionne pas, il faut bien sûr que nous intervenions au plus vite pour ne pas avoir de retour de flamme.. Il se peut cependant tout aussi bien que, la législation se voyant modifiée, nous soyons amenés à opérer des changements ou que de nouveaux besoins apparaissent et requièrent un développement. Vous ne savez jamais ce qui vous attend, mais c’est justement ça que j’aime. Chaque jour est différent et en IT il y a toujours des choses qu’on peut encore améliorer. »
Une carte de visite qui inspire la fierté
« Ce qu’on fait est aussi tout simplement très visible et a immédiatement un grand impact sur notre fonctionnement. Il m’arrive d’appeler cela notre carte de visite. Et puis, le travail est aussi très pertinent sur le plan sociétal. Nous avons par exemple lancé une collaboration ayant pour but d’assurer que les extraits de casier judiciaire ne puissent plus être falsifiés. Avec d’autres services publics, nous tentons alors d’identifier des solutions et c’est ce qui nous a conduit à un sceau électronique. Ce sont des projets dont on peut être fier. »